#HumanFirst. La charte Human First par PASàPAS. 5 collaborateurs de l’entreprise nous apportent leur regard sur les 5 engagements que l’entreprise prend chaque jour vis-à-vis de ses collaborateurs. 5 manières de se sentir pleinement investis dans son travail et acteurs d’un projet collectif. Dans cet épisode, Agnès Poizeau, directrice des avant-ventes chez PASàPAS, nous parle de l’engagement n°1 : « Associer et Partager ».
Pouvez-vous décrire votre vie professionnelle chez PASàPAS ?
J’ai fêté en octobre mes 10 ans chez PASàPAS ! J’ai débuté ma carrière dans le groupe en intégrant KPF au moment du lancement de l’activité « pilotage de projets ». J’ai pu intervenir sur des projets très intéressants et très complets avec des aspects à la fois techniques, fonctionnels et de la conduite du changement. Au fur et à mesure de la croissance de l’activité dans le groupe, j’ai eu la chance de pouvoir évoluer, jusqu’à occuper le poste de directrice des avant-ventes. Aujourd’hui, je manage 6 personnes en direct dont un team leader qui gère une équipe de 6 personnes. Cette équipe est en pleine croissance.
Il y a 10 ans, j’ai choisi de quitter un grand groupe pour rejoindre une plus petite société qui se démarquait par la qualité de ses relations humaines et son ambition. Un virage professionnel qui n’est pas très courant… Mais c’était pour moi une opportunité de rentrer dans un univers à la fois stimulant et empreint de valeurs. 10 ans plus tard, l’entreprise est conforme à l’image que j’en avais en entrant : on s’y sent bien ; on y vit de belles réussites collectives, on travaille dans l’échange… Un cadre propice pour révéler les talents !
Pour moi, concrètement, qu’est-ce qu’il y a derrière la charte Human First ?
Human First, pour moi, c’est d’abord prendre soin des autres. Tous les managers font attention au bien-être de leurs collaborateurs, à ce qu’ils se sentent épaulés, aidés et qu’ils puissent développer leurs compétences. Un budget important est consacré à la formation pour que chacun puisse accéder à des formations qualifiantes.
Contrairement aux autres sociétés de conseil qui envoient leurs consultants se débrouiller chez les clients, chez PASàPAS, nous sommes accompagnés. Quand j’étais consultante, mon responsable m’appelait toutes les semaines pour prendre de mes nouvelles. Dès que j’avais un point d’expertise à éclaircir, j’ai toujours pu trouver quelqu’un en interne pour m’aider et me soutenir.
Nous travaillons dans un esprit de partage et d’écoute. Le fait de vivre des projets ensemble crée de la convivialité et de la transversalité. Tout le monde se croise facilement sur les plateaux, la communication est fluide entre les métiers. Ill n’y a pas de silo dans nos modes de travail. Chaque communauté de compétences organise des événements pour permettre à ses membres de se rencontrer et mieux se connaitre. Pas forcément avec un but purement professionnel, quelque fois uniquement pour partager une passion comme le yoga et le chant. C’est comme une grande famille !
Que représente pour vous la possibilité d’accéder à des actions de l’entreprise ?
Dès que l’actionnariat s’est ouvert, j’ai souhaité y participer. Pour quelles raisons ? D’une part, parce que j’ai confiance dans l’entreprise. J’ai envie de m’y investir et de participer à son développement. Et d’autre part, bien sûr, parce que cela représentait un placement sécurisant donc intéressant à titre personnel. Depuis, j’investis tous les ans dans l’entreprise, même en année de Covid. C’est une façon de soutenir la société, de montrer que j’assume mes responsabilités au sein de PASàPAS. Et également parce que j’ai envie qu’on réussisse tous ensemble à atteindre notre K9 !
Une part des bénéfices est redistribuée aux salariés chaque année. Est-ce que ces apports complémentaires sont important pour vous dans votre motivation au travail ?
Chaque année, ce sont 25% des bénéfices qui sont redistribués : 18% en participation, 5% en prime de bilan et 2% en prime exceptionnelle. Evidemment, la participation est très attendue par les collaborateurs ! Elle permet à tous de bénéficier des retombées de la croissance. C’est un point qui est valorisé à l’embauche.
De même, quand les collaborateurs s’investissent beaucoup sur un projet, en tant que managers, nous apprécions de pouvoir les rétribuer avec une prime exceptionnelle. C’est une façon de montrer que l’entreprise est reconnaissante.
Vous avez participé à la construction du projet d’entreprise K9 : quelle satisfaction en retirez-vous ? Quel sens donnez-vous à ce projet d’entreprise ?
En effet, j’ai participé à la construction du projet K9. Je peux vraiment dire que c’était une co-construction avec les salariés de PASàPAS. Il y a d’abord eu un travail collégial où tout le monde a pu faire remonter des idées. Puis après validation par le Comex, nous avons approfondi le travail au sein d’une équipe de 50 personnes jusqu’à définir un plan d’actions concret. Etre partie prenante du projet m’a beaucoup plu : prendre du recul sur le quotidien, échanger concrètement avec les autres, construire ensemble… est très enrichissant et fédérateur.
Le K9 continue à guider nos actions : la road map est affichée dans toutes les agences. Chaque année, nous remettons en perspective notre bilan avec les objectifs du K9 à horizon 2025.
Le rapprochement avec Talan va-t-il changer votre vision de l’entreprise ?
Talan est une entreprise beaucoup plus importante que PASàPAS, qui partage pourtant des valeurs très proches des nôtres. On retrouve chez eux le même esprit de convivialité, avec des temps informels pour discuter et mieux se connaitre.
Concrètement le rapprochement avec Talan n’a rien ôté à l’esprit Human First. En revanche, il apporte des possibilités nouvelles en termes de clients, de projets et de mobilité. Les deux structures sont très complémentaires.
Un dernier mot pour donner envie à d’autres de vous rejoindre ?
PASàPAS est également investi dans des actions de soutien à des associations. A titre personnel, c’est une dimension qui compte. Nous avons par exemple tous participé à une opération dans l’entreprise où nous devions compter nos pas, en équipe. Chaque pas représentait un don pour l’association « A chacun son Everest » qui soutient les enfants atteints de cancer. Cela a été un moment fort qui a suscité beaucoup d’émotion entre nous. Pour moi, c’était une grande fierté d’avoir participé.
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