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Esprit Human First : la cohésion interne chez PASàPAS, témoignage de Marie-Gabrielle

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Certains pourraient la qualifier de Chief Happiness Officer, d’autres la perçoivent comme le relais de l’esprit PASàPAS, ou encore le « supplément d’âme de l’entreprise ». Marie-Gabrielle Levieux occupe une fonction chez PASàPAS au croisement entre plusieurs départements : ressources humaines, communication interne, services généraux, événementiel… Sa mission principale ? Participer à la cohésion et à l’engagement des salariés dans l’entreprise.

Depuis quand travaillez-vous chez PASàPAS ? Quelles sont vos fonctions ?

J’ai intégré PASàPAS il y a 7 ans, mais je connais l’entreprise de plus longue date. Auparavant, je travaillais pour une société de service qui intervenait sur l’organisation des déjeuners des « Restons groupés », un rendez-vous mensuel qui à l’époque réunissait tous les collaborateurs du siège, anciennement rue Saint-Georges.

En tant que responsable Événements et Services généraux, j’ai une double mission :

  • organiser des événements internes pour animer la vie du groupe,
  • prendre en compte les besoins des collaborateurs sur des aspects concrets liés à la gestion des espaces, des locaux, des fournitures diverses…
 

Le poste a été créé à mon arrivée.

Comment pourriez-vous décrire votre raison d’être chez PASàPAS ?  

Mon rôle dans l’entreprise est de renforcer la cohésion et l’engagement des salariés. Je suis chargée de faire vivre l’esprit PASàPAS en interne. Il y a chez PASàPAS un esprit d’entreprise très spécifique qui fait que les collaborateurs sont heureux de venir travailler et sont fidèles à leur entreprise. Mon rôle est d’entretenir et d’animer ce lien mais également de veiller au bien-être des collaborateurs par différents moyens.

Comment décrire l’esprit PASàPAS ? C’est l’esprit Human First incarné dans des valeurs humaines et partagées par tous de manière très concrète et authentique. C’est tout sauf un concept marketing ! Toutes les actions que nous menons en interne participent à créer un vécu, une histoire collective qui font que les collaborateurs ont plaisir à se retrouver. Au-delà de nos différences et de nos parcours, un esprit commun nous relie les uns aux autres et nous anime. PASàPAS est plus qu’une somme d’individus. 

Quelles sont vos missions au quotidien ? Avez-vous des exemples concrets pour illustrer ? 

La dimension Services généraux est pour moi un moyen d’être à l’écoute des collaborateurs et de répondre à leurs besoins concrets. J’essaie ensuite de créer de multiples petites actions sur mesure pour animer l’esprit PASàPAS dans le quotidien de chacun.

Parmi les diverses activités pour fédérer les équipes et veiller au bien-être des salariés, je peux citer :

  • les « Restons groupés » : cet événement mensuel réunit tous les collaborateurs et la direction dans un format mixte présentiel – distanciel. C’est l’occasion de présenter en toute transparence les derniers résultats et actualités du groupe. La réunion est suivie ou précédée d’un repas convivial à thème. J’ai à cœur de varier les types de cuisine et de soigner les détails pour créer un moment fédérateur.
  • Les « Happy Time » : ce sont des temps de détente proposés le vendredi à l’heure du déjeuner via une réunion en ligne à toute l’entreprise : atelier créatif, conférence culturelle, développement personnel. Je fais venir des intervenants extérieurs selon les sujets abordés.
  • Les « Keep in touch » : cette initiative a vu le jour pendant le confinement et consiste à lancer des défis amusants chaque semaine aux collaborateurs : recréer le logo de PASàPAS, partager la photo de  ton animal de compagnie, ou encore partager ta photo de classe et s’amuser à reconnaitre son collaborateur etc… Qui veut, participe !  Au vu des retours positifs des collaborateurs, nous avons d’ailleurs décidé de poursuivre le principe après le confinement.
  • Les « Restons jouer » : une activité mélangeant afterwork et jeux de société, un moyen de se déconnecter tout en s’amusant entre collègues.
 

Au-delà de ces rendez-vous réguliers qui rythment la vie de l’entreprise, j’essaie de faire en sorte que l’entreprise ait un geste particulier pour les anniversaires, les naissances… en proposant un cadeau personnalisé ou en envoyant un message directement à l’attention du collaborateur.

Arrivez-vous à mesurer les bénéfices de ces actions en termes de cohésion ?

Les bénéfices se mesurent par la fidélité des collaborateurs à l’entreprise.

De façon générale, nous recevons des retours très positifs de la part des uns et des autres. Certains partagent le fait qu’ils se sentent comme à la maison, ou alors qu’ils ne viennent pas au boulot, mais qu’ils viennent partager un moment avec les collègues.

Bien que nous soyons tous différents, la convivialité est au cœur de l’entreprise, et les chiffres parlent d’eux-mêmes. Selon les résultats de notre dernière enquête du Great Place to Work 2023, 95% des collaborateurs trouvent que l’entreprise est conviviale, 90% que nous sommes attentifs les uns aux autres, 85 % que nous sommes solidaires… Des chiffres évocateurs !

Peut-on parler de vous comme d’un Chief Happiness Officer ?

Oui en quelque sorte ! Mais c’est une appellation qui ressemble davantage à un concept marketing pour faire travailler plus les collaborateurs qu’à une réalité du terrain. Donc je m’en méfie ! Pour moi, ce sont les actions concrètes qui comptent et il ne suffit pas de mettre un baby-foot pour parler de bonheur au travail. Ce sont les retours des collaborateurs qui font foi.

Beaucoup d’entreprise parlent de valeurs, d’humain, de bien-être… Chez nous, le bonheur se vit avant même d’être un sujet de communication. L’idée qu’il y ait une personne responsable du bonheur dans l’entreprise me parait un peu étonnante… Tout le monde doit être partie prenante du mouvement. Il me semble bien plus judicieux de valoriser toutes les personnes dans l’entreprise qui y contribuent par des petites actions, chacun à son niveau.

A mon niveau, il est intéressant de noter que j’ai une place un peu à part dans l’organisation de PASàPAS. Cela me donne une certaine liberté d’action et garantit en quelque sorte l’indépendance de la démarche.

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